Une nouvelle génération de pointeuses au service des PME?

Trop has been la pointeuse? C’est peut être l’un des constats qu’on fait les fabricants d’outils de gestion du temps ces dernières années.
La France compte bon nombre de PME, ayant des besoins particuliers en terme de gestion du temps de travail.
Des aspects sur lesquels se penchent les sociétés développant de nouveaux types de pointeuses.

De la pointeuse à sa grande sœur biométrique

Il y’a bien eu un regain d’intérêt pour cet outil à l’apparition des pointeuses de nouvelle génération, fonctionnant grâce à des données de biométrie. Mais, disposer d’un tel appareil nécessite d’employer certains moyens financiers et techniques. En effet, si installer une pointeuse signifie se contraindre à accepter certains protocoles, l’usage de la biométrie est encore plus réglementé, pour des raisons de sécurité.
Mais face au climat difficile dans lequel se trouvent aujourd’hui les entreprises, celles-ci souhaitent trouver des solutions leur permettant de mieux s’organiser pour maîtriser les couts et le temps.
Une nouvelle génération de pointeuses spécialement créée pour répondre aux besoin des PME a ainsi fait son apparition. Très simples d’utilisation, ces nouveaux outils s’installent rapidement. Ils bénéficient également de fonctions de consultation, ce qui permet aux salariés de visualiser des données simples comme le nombre d’heures travaillées dans la semaine, leur solde de congés, etc…

Faciliter les opérations liées à la gestion du personnel en PME

On pensait donc que ce type d’outil s’adressait prioritairement aux entreprises gérant de larges équipes de salariés, mais depuis peu, les PME cherchent elles aussi à faciliter leur gestion des ressources humaines. Elles sont nombreuses à externaliser leur comptabilité auprès de cabinets d’experts comptables, ce qui représente déjà un gain de temps considérable. Alors pourquoi ne pas également rendre le travail consacré aux paiement des heures effectuées encore plus facile?

Un outil d’accompagnement, pas de flicage

Le problème, c’est qu’en France, de par son passé Fordien, la pointeuse est souvent déconsidérée par les salariés. Alors qu’il suffit de la programmer pour qu’elle calcule les choses de façon de saine. Permettre un quart d’heure de souplesse, le matin comme le soir, évite de devoir passer son temps à s’occuper de l’absentéisme et des retards à répétition qui engendrent de petites guerres intestines.
Car quand on travaille dans une PME, on ne peut pas toujours courir après ses salariés. Les rendez-vous en extérieur, les mails de dernières minutes et autres petits imprévus peuvent vite créer des conflits entre les salariés qui en font trop et ceux qui n’en font pas assez. L’idéal étant de trouver le juste milieu, la pointeuse permet d’éviter les abus d’un côté comme de l’autre.
Et les PME semblent aujourd’hui se tourner vers ce type d’outil, qui, quand il est bien réglé, permet de régler les choses avec plus de sérenité.